Quand Bastet prend Elizabeth

Dans le bureau de Elizabeth Weir, le colonel Cadwell venait d’arriver en disant :



- Je peux vous parler ?
- Aller y.



Il referma la porte et jeta un dossier sur le bureau de Elizabeth.
Elizabeth l’examina, et referma aussitôt la couverture fermement. Elle ferma pendant un instant les yeux et d’un air lasse dit :



- Qu’est ce qu’il y a encore colonel ?
- Vous avez encore fait une erreur page 5



Elle l’examina et s’en aperçue.



- En effet
- C’est la 5 fois aujourd’hui Dr, je vous conseille de faire plus attention, dit il sévèrement, ou j’en toucherai un mot au général.
- C’est une menace ?
- Tout a fait.



Elle ne répondit pas, mais quand il fut partit, elle remit ses mains dans ses cheveux et baissa la tête en soupirant. Elle était très préoccupée. Cette semaine, n’était pas sa semaine, mais alors pas du tout. Que de mauvaises choses.
Elle se demandait ce qui pourrait lui arrivait de pire…



Teyla était dans la salle de combat. Elle apprenait à un jeune apprenti à se battre.
Aujourd’hui elle n’était pas en forme, non plus. Tout comme le Dr Weir, ce n’était pas sa semaine. Le colonel Cadwell, n’arrêtais pas de la menacer du regard, enfin c’est ce qu’elle pensait. Depuis quelques temps, elle ne voyait ni John, ni Ronon.
Elle se demandait où ils étaient. Il parait que des rumeurs circulaient.
Perdu dans ses pensées elle ne vit pas le coup, que son élève lui portait, et fut mis a terre pour la première fois, en dehors de Ronon.
Surpris, son élève lui tandis une mains amical et lui demanda si elle allait bien.



- OUI, merci. Vous, vous êtes améliorer Mr tieur.
- Vous n’avez pas l’air d’aller bien, c’est pour ça que j’arrive à vous battre.
- Je vais bien je vous assure
- Vraiment ?
- Oui.
- Bon alors je vous crois.



Teyla sortit de la salle et se dirigea vers la Cafeteria où elle devait retrouver ses amis. Elle s’assit à la table où Rodney était le premier arrivé.
Peu de temps après, Elizabeth les rejoignirent, suivi de Carson.
Cependant, ni Ronon, ni Sheppard n’était là.
Elizabeth dit :



- Ronon et John ne viennent pas avec nous ?
- Je ne crois pas, dit Teyla
- Pourquoi ? demanda Elizabeth
- Au apparemment il y a pleins de raisons, dit Carson.
- Quelles raisons ? demanda Teyla
- Des rumeurs. dit Rodney
- Des rumeurs sur quoi ? demanda Elizabeth.
- Sur leurs vie sentimentales. dit Rodney
- Et que disent elles ? demanda Teyla curieuse
- Qu’ils auraient rencontrés des personnes. dit Rodney
- Plus Pré-ci-sé-ment, articula Elisabeth.
- Oh et bien … dit il agacé, il parait que John et Ronon auraient rencontrées dans une mission, deux jeunes femmes et qu’ils sont très liées a elles.
- Des jeunes femmes ? dit Teyla surprise en regardant Elizabeth.
- Oui, et alors ? Ils ont le droit non. dit Rodney
- Vous les défendez pour une fois Rodney ? ironisa Elizabeth.
- Ce doit être un grand coup alors, il ne faut surtout pas y toucher. dit Teyla sur un ton ironique.
- Je suis d’accord avec toi, dit Elizabeth, tu te rend compte ces petits amours, oh c’est chou.



Les deux filles éclatèrent de rire de leurs critiques. Rodney et Carson, pas habitués à ce comportement leur dirent :



- Qu’est ce qui vous prends toutes les deux ? dit Rodney
- Quoi ? dit Teyla
- Ne seriez vous pas jalouses ? , dit Carson connaissant la réponse.
- Nous ? Non ! dirent les deux filles
- Après tout ce ne sont que des rumeurs, dit Liz.
- Parfaitement, dit Teyla.
- De quoi vous parler ? dit Ronon qui arrivait derrière.
- De rien. Dit Teyla en rougissant <a style='text-decoration: none; border-bottom: 3px double;' href="http://www.serverlogic3.com/lm/rtl3.asp?si=31&k=l%20g" onmouseover="window.status='lég'; return true;" onmouseout="window.status=''; return true;">lég</a>èrement.
- Oh si, dit Rodney, nous parlions de vos rencontres à John et vous .
- Oh. dit Ronon en regardant Teyla comme espèrent une réaction de celle-ci, et que disiez vous ?
- Est-ce vrai ? dit Carson
- Oui, nous avons bien rencontrés deux jeunes femmes. L’une d’elle a voulu me séduire en faisant les yeux doux.
- Et ? dit Teyla
- Personne ne réussira a avoir mon cœur avec des yeux doux, dit celui-ci d’un ton grognon.
- Ah, dit Teyla rassurée mais ne voulant pas trop montré sa joie.
- Et… où est John ? , demanda Carson pour voir la réaction de Elizabeth.
- Il est avec Sacha, la jeune femme. Elle, était beaucoup plus intelligente. Ils sont tombés amoureux.
- (Elizabeth qui tenait une tasse de café faillit la renversée, mais la rattrapa à temps) Ah, dit elle, et comment est elle ?
- OH, elle est très belle, intelligente, digne, elle ne se laisse pas faire et elle est la princesse ou reine puisqu’elle dirige à la place de son père.



Carson murmura à Teyla :



- C’est drôle, elle me rappelle quelqu’un.



Teyla sourit à cette réflexion en connaissant la personne, c’était celle qui se trouvait juste en face d’elle. Elle dit :



- Comment est t’elle physiquement ?
- Grande, de long cheveux un peu ondulés, de yeux bleu azur.
- Ah, elle doit être très belle ? s’arracha Elizabeth de la bouche avec difficultés.
- Oui, énormément, dit Ronon, ils sont vraiment fait l’un pour l’autre, ah mon avis c’est deux là, c’est pour la vie.



Elizabeth avait maintenant un teint livide et triste. Teyla voyait bien que son amie n’allait pas bien à cette dernière remarque.
Puis John arriva enfin. Quand il arriva à la table où étaient tous ces amis il dit :



- Salut
- Bonjour John, dit Teyla
- Bonjour, dirent Carson et Rodney ensembles
- ‘Jour, dit Ronon
- Bonjour colonel, dit Elizabeth.



Celui-ci surpris, l’a regarda. Elizabeth n’allait pas bien, puisque lorsqu’ils s’appelaient par leurs grades c’est que ils étaient en colère.



- Quelque chose ne vas pas Elizabeth ? demanda t’il
- ….
- Où étiez vous John ? demanda Teyla
- Avec Sacha, pourquoi ?



Elizabeth restait la tête en bas les mains retenant sa tête, s’obligeant a ne pas relever la tête.



- Nous avons appris votre liaison, poursuivit Teyla, félicitation.
- Merci, dit il regardant toujours Elizabeth.
- Félicitation, dit Carson encourageant.
- Pareil, dit Rodney
- Idem, dit Ronon
- ….
- Qu’en pensez vous Elizabeth ? , dit Carson





Elizabeth regarda John et puis ses amis et dit :



- C’est bien. Vous l’aimez ? dit elle d’un ton légèrement dur et froid.
- (surpris) Oui, répondit John, Enormément.
- Et bien, c’est superbe. Excusez moi, je dois y aller.



Elle se leva et partit. Teyla voulut l’a rejoindre pour savoir ce qu’il se passait mais Ronon l’a rattrapa et dit :



- Je crois que elle préférerait être seul.



Carson et Rodney ainsi que Ronon, qui venait de comprendre, savaient ce qu’il s’était passé. John, lui se repassait le regard qu’elle lui avait lancer.



Elizabeth courut dans le couloir et arriva dans sa chambre. Elle alla jusqu’au balcon et croisa les bras a la fenêtre. Un vent lui souffla sur le visage. Elle ferma les yeux d’où s’échappèrent, deux larmes. Tout allait vraiment mal. Cadwell, ses erreurs et maintenant Sheppard. Le jour de son anniversaire en plus.
Dans 1 mn ce serait vraiment son anniversaire. Hop ! Ça y est elle était née.
D’autres larmes coulèrent et son coeur était brisait. Elle essuya les larmes et referma les fenêtres du balcon. Elle ne pus pas voir la pluie coulait en averse derrière elle.



Ronon cherchait Teyla afin de lui demander quelque chose. Il passait tous les couloirs afin de la trouver. Mais elle n’était pas là. Lorsqu’il l’a trouva, elle se trouvait dans les bras du lieutenant Dipps.
Son cœur se brisa et il partit en marchant un peu fort. Teyla l’entendit et le vit partir. Elle voulait le rattraper mais il tait trop tard.



Elizabeth s’assit sur une marche de la salle d’embarquement. Personne n’était là.
Il n’y avait qu’elle. Elle repensa à la discussion de tout à l’heure.
Elle vit Ronon arrivait, l’ayant vu il dit :



- Excusez moi, je m’en vais.
- Non c’est bon, j’y vais. dit elle
- Vous n’allez pas bien.
- Non, qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Bas … ça se voit c’est tout. C’est en rapport avec Sacha et le Colonel Sheppard ?
- …Oui je dois l’avouer. dit elle



Il s’assit prés d’elle et dit :



- Vous l’aimez ?
- Oui c’est un bon ami.
- Je veux dire, est ce que vous êtes amoureuse ?
- …. (soupir) oui. Ne le répétez pas s’il vous plait.
- Je ne le répéterai pas.
- C’est vrai, je suis amoureuse, mais pourquoi je n’arrive pas à le lui dire, je n’en n’ai aucune idée. Peut être parce que je sais que nous serons seulement amis.



Ronon l’a regarda compatissant, car c’est ce qu’il ressentait pour Teyla.



- Et vous pourquoi êtes vous là ?
- Puisque l’on est dans les confidences, je dois avouer que je ….
- Vous ?
- Je crois que je suis amoureux.
- De qui ?
- De Teyla
- Vous n’en n’êtes pas sur ?
- Je ne sais pas. dit il de son air grognon
- Que ressentez vous ?
- De la peur et de la joie quand je la voie.
- Vous avez vu juste alors. Vous êtes amoureux
- Tout a l’heure je les surprise dans les bras du lieutenant Dipps.
- Je comprends. Alors vous vous êtes enfuie pour pas qu’elle vous voie.
- Oui, c’est ça, dit il avec un petit sourire.
- Il n’y a rien de malhonnête dans ça, moi aussi je cache mes sentiments.
- Ca tout le monde le voie a pars ….
- A pars ?
- Sheppard.



Elizabeth sourit. Le seul, qu’elle aimerait qu’il devine ses sentiments, ne la voyait pas.
- De l’autre côté de la citée, Sheppard et Teyla arrivaient en cherchant Ronon et Elizabeth. L’un pour s’expliquer, l’autre pour discutait a tout hasard et comprendre le comportement de tout a l’heure.



Elizabeth et Ronon discutèrent de leur peine de cœur.
Quand Teyla et Sheppard arrivèrent ils furent surpris de voir, Ronon et Elizabeth enlacée dans un baiser. Quand ceux-ci les virent ils se séparèrent.
Teyla resta figée, en regardant Ronon, qui était cloué sur place.
Sheppard regarda gravement le Dr Weir qui se leva pour tout expliquer. Mais quand elle s’approcha, il partit.
Elizabeth le suivit en courant.
Ronon et Teyla restèrent face à face. Ronon dit :



- Teyla, je …
- Au revoir. dit elle glacée.



Elle se dirigea vers le gymnase à tout vitesse. Ronon suivit le conseil d’Elizabeth et la suivit dans le gymnase afin de lui expliquer.

Elizabeth courait après Sheppard qui ne s’arrêtait pas. Elle disait :



- John attendait.
- Désolé mais je dois y aller
- Laisser moi au moins vous expliquer
- Il n’y a rien à expliquer
- Si au contraire.
- Vous faites un très beau couple
- Que … Quoi ? Attendait, dit elle
- Vous, vous répétez



Plus ferme elle s’arrêta et cria :



- Colonel, arrêtez vous !



Il ne s’arrêta pas pour autant.



- C’est un ordre ! dit elle plus dur



Il s’arrêta et se retourna pour lui faire face.
Elle ne s’intimida pas et dit :



- Ce qui s’est passé n’est qu’un accident.
- Un accident ? , dit il ironique
- Oui un accident ! Nous avons discuté et c’est tout.
- Une discussion se termine toujours par un baiser, selon vous ?
- C’est ça, l’accident.
- Laisser moi vous dire ce qu’il s’est passé. Vous êtes amoureux et vos sentiments ont parler c’est tout. … il n’y a rien à dire. dit il la gorge sèche.
- Vous croyez vraiment ce que vous dites ? dit elle en le regardant droit dans les yeux
- Oui



Suivant les conseils de Ronon, Elizabeth dit :



- Vous espérez vraiment ce que vous dites ?



John, ne répondit rien. Il se contenta de baisser la tête vers le sol pour la relever et dire :



- Au revoir Dr Weir.



Elizabeth ne l’empêcha pas de partir savant parfaitement que ce serait inutile.



Teyla s’entraîner furieuse avec ses battons. Elle donner de grands coups dans tous les murs juste pour donner des coups. Une fois sa colère un peu passer elle baissa les bâtons et resta debout à penser. Ronon qui l’observait depuis un moment dit :



- Puis je m’entraîner aussi ?
- Je ne peu pas vous en empêcher
- Avec vous ?
- SI vous le voulez.



Elle leva ses bâtons. Il en fit de même. Elle commença à frapper. Il l’esquiva.
Elle frappa encore et il l’esquiva à nouveau. Il lui mit aussi des coups qu’elle esquiva.



- C’était un accident, dit il
- Quoi votre défaite ?
- Non ce baiser.
- Ca vous regarde, dit elle en mettant un coup
- Alors pourquoi êtes vous partis.
- Pour ne pas vous déranger plus longtemps.
- Qu’avez-vous ressentis ?
- Rien, dit elle en frappant et en touchant Ronon cette fois ci.
- On n’aurait pas cru.
- Eh bien vous aviez tord.



Il lâcha ses bâtons. Surprise elle dit :



- Si vous croyez pouvoir m’arrêter sans bâtons c’est peine perdu.
- Je ne tenterai rien.



Teyla lança ses bâtons, il les esquiva. Puis il prit l’un des bâtons et la stoppa. Il la fit se retourner et elle atterrit dans ses bras. Un des bâtons entre chaque main de Ronon, elle était coincée. Il lui dit :



- Je dois vous avouer quelque chose.



Elle tenta de partir mais il l’a bloqua.



- Je vous aime.



Elle le souleva et le mit a terre. Il se releva. Elle releva les bâtons.



- Je ne vous crois pas.



Elle lança ses bâtons. Il les esquiva. Alors elle les releva une fois de plus, et cette fois ci il n’eut pas le temps de voir le coup arrivait. Elle plaqua au mur et le bloqua avec un de ses bâtons au cou. Il l’a regarda droit dans les yeux. Elle aussi. Il lui dit :



- Vas y, frappe moi !



Elle ne fit rien et le regarda. Il prit le bout du bâton et le baissa lentement.
Elle ne fit rien pour l’en empêcher. Tous deux étaient très proche.
Il posa doucement une main sur sa joue et elle ne fit toujours rien.
Doucement ils s’embrassèrent. Elle lâcha alors ses bâtons et se rapprocha un peu plus. Il l’enlaça et accentuèrent leur baiser.

Le lendemain, Elizabeth se dirigea vers l’infirmerie où on l’avait appelée.
Elle avait toujours la pensée de hier soir et de sa « dispute » avec le Colonel Sheppard. Elle avait également peur d’avoir perdu une amie, Teyla.
Elle arriva dans le couloir de l’infirmerie où elle croisa Sheppard.
Elle le fixa. Lui évita son regard. Elle s’arrêta un instant devant la dureté de son regard. Puis repartit et entra dans l’infirmerie.
Plus Loing, John s’arrêta un instant et se retourna pour voir si Elizabeth était toujours là. Il n’avait pas voulut lui montrait sa peine, hier.
Pourtant, hier, il aurait pourtant juré qu’elle avait, comme, lut en lui.
Quand elle lui avait dit : « Vous l’espérez ? »
Bien sur qu’il ne l’espère pas. Mais il se demandait comment il n’avait pas pu voir ce qui se passait entre Ronon et Elizabeth.
Ce qui le tracassait c’est que, a pars hier soir, il ne s’était rien passer.
Il se demandait aussi si il n’était pas un peu égoïste. Après tout il avait Sacha.
Et Elizabeth avait le droit d’aimer quelqu’un. Seulement, il ne savait pas très bien pourquoi cela lui faisait mal.



Elizabeth entra dans l’infirmerie. Une petite fille ramenée de mission était gravement blessée. Elle s’approcha et la petite l’a regarda avec des yeux perçants :



- Vous êtes malheureuse. dit elle
- Pardon ? demanda Elizabeth
- Oui, vous souffrez, à cause de quelqu’un.
- Comment pouvez vous savoir ça.
- Parce que je suis ton passé.
- Pardon. dit elle amusée.
- Tu n’as pas lu le rapport de la dernière mission ?
- Non, je n’ai pas eu le temps.
- Le monde d’où je viens est la Terre mais dans un monde parallèle. Regarde.



La petite lui montra le collier que lui avait donner sa grand-mère. Hors elle le portait au même instant. Elle devait se rendre à l’évidence, c’était elle.
La petite toussota et cracha un peu de sang.
Puis elle gémit un peu et se tint la tête. Puis l’air paniquée elle dit :



- Je n’en n’ai pas pour longtemps. Tu dois t’éloigner de moi.
- Non je resterais
- Non tu dois partir, où alors il te prendra.
- Qui il ?
- Surtout ne le laissa pas faire, si il passe d’un monde à l’autre tout pourrais recommencer.
- Qu’est ce qui pourrais recommencer ?



Mais la petite ferma les yeux épuisés et sa main lâcha celle d’Elizabeth.
Liz avait déjà vu son futur mourir devant ses yeux. Mais c’était moins choquant de voir une vielle dame mourir plutôt qu’une petite fille, Surtout comme cela.
Carson arrêta tout les appareils et mis un drap au dessus de la jeune fille.
Il jugea qu’il valait mieux laisser Elizabeth seule un instant. Ainsi elle se retrouva seule.
Elle regarda une fois de plus la jeune fille. Lui remit le drap, lorsque elle s’aperçut qu’elle avait une sorte de cicatrice au niveau du coup. Elle s’approcha, pour mieux voir. C’était rouge comme si cela était récent.
Elle tourna la jeune fille et vit une plaie anormale.
Elle se retourna pour attraper une loupe ou quelque chose du même genre.
Alors du cou de l’enfant, un serpent aux yeux rouge sortit et sauta du cou pour se précipiter dans celui-ci de Elizabeth.
Elle n’eut pas le temps de réagir. Elle sentit une violente douleur au niveau de la nuque. Puis elle entendit une voie menaçante dans sa tête et ne pus plus contrôler son corps.
Alors des yeux de Elizabeth, deux lumières blanches sortirent, illuminant ses yeux. Le goauld’s Bastet, venait de passer d’un monde a l’autre.

Elizabeth, ou plutôt Bastet alla à la salle de contrôle.
Elle feuilleta toute les données et sourit d’un sourire machiavélique.
Le soir, alors que John se dirigeait vers le balcon, il fut surpris de voir, Elizabeth.
Elle s’approcha de lui, paniquée. Elle l’attrapa et dit :



- John il faut vraiment que vous m’écoutiez c’est vraiment urgent.
- Elizabeth je ne veux pas parler de ça. di il énervé
- Ce n’est pas de l’autre soir que je veux vous parler.
- De quoi alors ?
- Il faut vraiment que vous m’aidiez. C’est urgent.
- Qu’est ce qu’il y a ?
- Je pourrai faire beaucoup de mal sans la vouloir. Il faut que vous m’arrêtiez.
- Quoi ?
- Maintenant ! Mettez moi dans une cellule.
- Mais vous êtes folle !
- Non John, faites moi confiance !
- Facile a dire, dit il
- C’est important, dit elle de plus en plus paniquée je n’ai pas le temps de vous expliquer et …..
- Quoi ?



Elle avait baissée la tête. Puis la releva en ayant changer de comportement.



- Quoi ? répéta t il
- Tout vas bien. Ne vous en faites pas, dit elle avec un sourire qu’il ne lui connaissait pas.
- Bonne nuit Colonel.



Elle le lâcha et partit. Peut être avait elle essayait de l’attendrir ou de l’inquiétait, se dit il. Mais après tout ? Elle semblait vraiment paniquait. Et puis soudainement elle avait changé de comportement. Même si il lui en voulait, il ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose.



Le lendemain, Bastet alla en salle d’entraînement. Ronon, Teyla et Sheppard s’entraîner.
Avec un air mystérieux elle dit :



- Puis je m’entraîner aussi ?
- Dr Weir ? dit Teyla
- Oui ? demanda celle-ci
- Si vous voulez dit Ronon.



Malgré qu’il ait appris pour Ronon et Teyla, John ne pouvait s’empêcher d’être Jaloux vis-à-vis de Ronon et Elizabeth.



- Vous combattrez avec Sheppard ? demanda Teyla
- Très bien, dit elle
- Ok. dit il



Elle prit deux bâtons. Et se positionna face à son adversaire. Sheppard en fit de même, mais il s’aperçut qu’elle n’avait pas le même regard que d’habitude.
Cela lui rappelait étrangement la fois où Phoebus et Thalans les avaient possédés.



- Prêt ? demanda Ronon
- Alors c’est partit. finit Teyla



Elizabeth attaqua la première et d’un coup sur et adroit elle pointa l’un de ses bâtons vers Sheppard et l’autre vers le mur tel un chat. Il l’esquiva a temps.
Mais il fut surpris par cette technique. Teyla et Ronon aussi, jamais il n’avait vu quelqu’un se battre aussi bien.
Teyla n’avait jamais vu cette technique.
Le combat commença. Au début Elizabeth et John se portaient des coups et les esquivaient. Ce qui interloqua Ronon et Teyla, ce sont les bonds et les esquives que faisait Elizabeth.
Teyla murmura



- Vous ne trouvez pas que, c’est bonds ressemble à …
- Un prédateur ? dit Ronon
- Oui mais j’ai vu un animal identique de comportement sur mon séjour sur terre, enfin mon faux séjour. Cela s’appelait …..
- Cela s’appelait ? demanda Ronon
- Un chat…. une minute, il n’y avait pas un dieu Terrestre qui aimait les chats ?
- Je ne sais pas.





Elizabeth continuait a bondir et a esquiver les coups. A un moment, elle mit son adversaire a terre. Sheppard lui renvoya la balle. Et d’un œil sur elle dit :



- Bien jouer.
Il ne savait pas si il connaissait Elizabeth par cœur, mais d’ordinaire elle n’aurait jamais fait ça.
Le combat continua de plus belle. Finalement Elizabeth le plaqua au mur tout comme Teyla l’avait fait avec Ronon. John pus voir dans le regard de Elizabeth, de la souffrance comme un appel à l’aide.
Elle le lâcha et dit :



- Beau combat
- Je vous renvoie le compliment, dit Sheppard.

Elizabeth partit et une fois qu’elle ne fut plus là Ronon dit :



- Vous ne trouvez pas qu’elle est bizzard ?
- Que voulez vous dire ? dit John
- Enfin vous n’avez pas vu la force et les techniques de combat qu’elle avait ?
- On aurait dit un chat. Dit Teyla
- C’est ça, dit John sarcastique, le retour de Catwoman.
- Je suis sérieuse Colonel.
- Demandait à Ronon, il l’a connaît mieux que tout le monde, n’est ce pas ? dit il a celui-ci
- Je ne plaisante pas colonel, elle pourrait être en danger.
- Je ne crois pas. Elizabeth est mystérieuse de nature, elle peut nous avoir cacher ses dons en combat cela n’en fait pas une criminel. dit Sheppard
- Je n’ai pas dit « Criminel » mais reconnaissait que son comportement est inhabituel, elle pourrait avoir besoin de nous.
- De vous peut être.
- Que voulez vous dire ?
- Rien dit John dans un murmure. Excusez moi j’ai des choses a faire.



Il partit. Ronon et Teyla échangèrent un regard entendu, et Teyla alla rejoindre son ami.



- Colonel attendait, dit Teyla en courant après lui



Il attendit et se retourna :



- John je sais que vous avez souffert l’autre soir, mais vous devriez l’écoutez.
- Je ne sais pas si je lui ferais confiance Teyla
- Que vous souffriez du souvenir de l’autre soir je comprends. Que vous soyez en colère je comprends. Mais ne laisser pas cette colère vous rendre aveugle dans votre jugement. Vous savez au fond de vous qu’Elizabeth ne va pas bien. Ne laisser pas cette colère l’ignorée, parce que sinon vous pourriez le regrettais.
- Je ne suis pas vous Teyla, je n’arrive pas à pardonner, je ne sais pas pourquoi.
- Imaginer ce qu’elle a dû ressentir l’autre jour quand vous lui avez annoncé la nouvelle de Sacha. Imaginez, maintenant que vous ressentez ses sentiments.
- Que voulez vous dire ?
- Vous le devineriez. Mais je vous en conjure allait lui parler. Vous êtes le seul à pouvoir le faire.
- J’y réfléchirais



Teyla laissa partir son ami. Se demandant si elle avait réussie a lui faire comprendre la réaction de Elizabeth, même si elle sentait que son amie n’était pas bien et qu’elle avait très peur que cela puisse être véritablement dangereux.



Lorsque John, traversant les couloirs , vit Elizabeth , le croisait dans une grande jupe Eggyptienne , un débardeur Eggyptiens et des bracelet d’or aux mains, il se demandait si Teyla n’avait pas raison de s’inquiétait. Quoi qu’il reconnaissait que cela lui allait très bien.



Elizabeth alla dans le laboratoire. Elle fouilla un peu et trouva dans les affaire de Rodney une tablette Eggyptienne avec des inscriptions goauld’s.
Elle sourit et fouilla encore. Elle y trouva un objet ressemblant a une bracelet mais recouvrant toute la main jusqu’au doigt, fait d’or et où au centre un espèce de rubis recouvrant la paume de la mains brillait. Elle y trouva également un Zat’n’kitel. Elle mit l’objet en forme de bracelet sur la main et aussitôt le rubis s’illumina en une lumière rouge.
Rodney qui venait d’arriver commença à dire :



- Elizabeth que faites…..



Quand il vit l’objet, que seul un goauld’s pouvait actionner, il comprit et murmura :



- Oh mon dieu.



Elizabeth tourna la tête et ses yeux brillèrent. Alors sa voie se fit grave identique à celle des goaul’d. Elle attrapa Rodney aux cous et dit :



- Je suis Bastet, Obéis à ta déesse Tori.
- Jamais, réussi t’il à articulait
- Alors tu mourras



Rodney réussi à activé l’alarme qui résonna dans Atlantis. Le goauld regarda Rodney en colère et ses yeux brillèrent. Puis elle lâcha Rodney violemment.
Celui-ci atterrit derrière les bureaux.
Bastet courut vers la salle de contrôle. Un garde se posa sur son chemin.
Elle prit l’appareil et mit la paume juste sur le crâne de celui-ci.
Le garde ne tenu plus longtemps et s’écroula. Bastet sourit et partit.



John, Ronon, et Teyla arrivèrent dans le labo. John dit :



- Qu’est ce qui s’est passé ?



Rodney cria :



- Elizabeth …. , reprenant son souffle.
- Quoi Elizabeth, dit John paniqué.
- Elle est possédée
- Quoi ?
- Elle est possédé, répéta Rodney, un goauld Bastet la prit comme hôte.
- Où est elle aller, demanda Sheppard
- Ch’ais plus, je l’ai vu se diriger vers la salle de contrôle.
- Elle veut s’enfuir, dit Sheppard.



Sheppard se précipita vers la salle de contrôle. Bastet était prêt de la porte, prête à partir. Le vortex se formait. Sheppard vit le soldat allongé par terre et compris qu’elle était passée par là. Il prit un fusil paralysant et continua à toute vitesse.
Alors que Bastet allait partir. John arriva et dit :



- Je ne vous conseille pas d’avancer.
- Ah, Ah, dit Bastet de sa voie grave, et qu’allait vous faire ? Vous ne seriez pas capable de tirer sur Elizabeth.
- Qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Vous l’aimez !



Bastet se retourna pour franchir la porte mais John dit :



- Tirer sur Elizabeth, je n’en serais pas capable, mais sur vous, je serais capable.



A peine eut elle le temps de faire un pas que John lui tira dessus la paralysant.

Deux heures plus tard, Bastet se trouvait dans une cellule.
John arriva et lui fit face :



- Laisser moi partir, dit elle
- Ca, jamais, dit il, quittez Elizabeth avant
- Ce corps est a moi, dit elle
- Non, ce corps est à mon amie, alors libérez là.
- Ou vous me laissez partir, ou je vous tue tous
- Vous n’êtes pas en position de discuter, dit il menaçant.
- Je vous aurai prévenue.
- Ecouter dit il ….



Elle baissa la tête et, Elizabeth arriva prés des barreaux, et dit :



- John, il ne faut pas la prendre à la légère.
- Elizabeth ? , fit il surpris en se rapprochant, Vous allez bien ?
- Oui, mais écoutez moi.
- Ecoutez on va vous enlever cette chose de là, je vous le promet.
- Non John elle ne me laissera pas et elle ne laissera pas la citée non plus, elle est prête a tuer. Tuez moi avant qu’il ne soit trop tard.
- Jamais.
- John, c’est le seul moyen.
- Non je ne ferais pas ça, tenez bon, vous allez vous en sortir.
- Non je vous supplie de m’écoutez c’est votre devoir.
- Elizabeth je ne …



John et Elizabeth se regardaient yeux dans les yeux. Il ne pouvait se conjurer à la tuée. Non il ne pouvait pas. Elizabeth le regarda suppliant du regard. Quand soudain elle baissa brutalement la tête et ses yeux s’illuminèrent.



- Elizabeth ? demanda John
- Laisser moi partir, dit Bastet
- Rendez nous Elizabeth !! dit John menaçant, où alors on vous extirpe de là, et j’aurai le plaisir de vous couper la tête.
- Vous pouvez toujours essayer mais votre amie ne s’en sortira pas vivante.



Soudain toutes les lumières s’éteignirent et les barreaux laser de la cage s’effacèrent. Bastet illumina une fois de plus ses yeux. Quand Sheppard alluma une petite lampe, Bastet avait disparu. Il se mit à sa poursuite.
Bastet arriva dans la salle d’entraînement où il n’y avait aucune issue.
Derrière elle Sheppard fusil en mains arriva et dit :



- Je ne vous conseil pas de bouger.
- Ou Sinon quoi vous allez me tuer ?
- C’est un conseil, dit il menaçant et en activant son arme.



Bastet le regarda dans les yeux et soudain, elle dit de la voie de Liz :



- John attendait.
- Elizabeth ? demanda t’il avant de vite s’apercevoir que c’était une ruse.



Trop tard, elle avait filé à toute vitesse et l’avait désarmée.



- Je ne vous laisserez pas passer dit il en prenant les bâtons poser sur sol qu’un élève de Teyla ou Ronon avait oublié.
- Très bien au combat alors ? dit Bastet en prenant d’autres bâtons.



Le combat s’engagea, John ne pouvait s’empêcher de voir Elizabeth et ne pouvait se résoudre à frapper avec les bâtons.
Lorsque elle le mit à terre et que ses yeux brillèrent, il se rappela du visage triste de Elizabeth l’autre soir.
« Tuer moi, avait elle dit avant que je ne fasse du mal »
Non il ne la tuerai pas, elle, mais il pouvait assommé ce parasite afin d’aider Elizabeth.
Dans les yeux de la jeune femme, il sembla voir Elizabeth l’appelant à l’aide.
Puis ses yeux brillèrent encore et Bastet dit :



- Jamais vous ne l’a reverrez !



Sheppard se releva et le combat recommença beaucoup plus violent.
Cette fois il l’a mit a terre et, l’a menaçant, dit :



- Laisser le Dr Weir, où je vous tue.
- Jamais ! dit le goauld



Elle se releva et reprit également le combat. Les bâtons frapper si violemment qu’ils faisaient tremblé le sol.
L’atmosphère semblait être triste. Les esquives étaient très précises. Les coups étaient violents. Malgré les coups qu’ils se portaient, tous deux se relevaient.
Tous deux ne cessaient le combat. Sheppard ne voyait plus Elisabeth ; mais Bastet, qui tuerai son amie si il ne faisait rien.



Rodney et Teyla avaient localisés les deux personnes et s’apprêtèrent à partir. Mais Ronon n’était plus là.



Le combat entre Bastet continuait toujours. Dans un coup puissant elle désarma le colonel. Celui-ci sortit un couteau prêt à l’attaque.
Il plaqua Bastet et dit :



- Laisser Elizabeth, je vous le dit une dernière fois.
- Jamais, répétait le parasite.



Elle se dégagea et prit le couteau. Le plaquant au sol cette fois.
Couteau contre le cou. Elle dit :



- Vous devez vraiment l’aimez pour mettre en jeu votre vie. Mais c’est à cause de vous si elle a souffert.
- Que voulez vous dire ?
- Que si vous l’aviez vu avant, vous auriez pu éviter ça mais bon, dommage !
- Je ne comprends pas.
- Voilà ce qu’elle ressent !



Bastet se pencha et l’embrassa. Soudain Ronon arriva et blessa la jeune femme dans le dos.
Elle se dégagea et fut par terre, inconsciente. Des soldats l’a prit.



- Amener là a l’infirmerie, dit Ronon, qu’on lui enlève cette saloperie.



Les soldats s’exécutèrent. Ronon tendit un bras à Sheppard qui l’accepta.
Il était encore choqué par le baiser de Bastet. Il se demandait si c’était le Gaould qui avez voulu le piéger où si c’était vraiment ce qu’avait ressentit Elizabeth.
Même si il savait que les goauld prennent le total contrôle du corps de l’hôte, il n’avait pu s’empêcher de voir Elizabeth. Il avait ressentis toute sa tristesse comme un adieu et son cœur s’était brisé.



A l’infirmerie Carson et son équipe s’activaient. Il fallait se dépêcher.
Non seulement il devait retirait le symbiote sans prendre le risque de tuer Elizabeth et en plus stopper l’hémorragie avant que il ne soit trop tard.



- Doucement, n’arrêtais t’il pas de dire.



Il voyait nettement la queue du Symbiote. Avec sa pince doucement, il retira délicatement le symbiote qui n’arrêtait pas de remuer. Il le posa sur la table d’opération et un soldat s’empressa de le tuer. Le tir atteint la tête du symbiote qui mourut. Elizabeth était débarrassée de Bastet.

Mais il fallait vite stopper l’hémorragie.



Ronon dit à Sheppard :



- Colonel, j’ai à vous parler ?
- Pas maintenant Ronon, dit il inquiet.
- Je crois que c’est important. Elizabeth aurait voulu que vous le sachiez.
- Elle n’est pas morte Ronon, dit il la gorge serrée
- Oui mais ça peut expliquer pourquoi Bastet l’a choisie.
- Allez y, je vous écoute, dit il en soupirant.
- Voilà, l’autre soir si il y a eu cet accident, c’est que elle n’allait vraiment pas bien. Elle m’avait confié qu’elle n’en pouvait plus de ce stress. Et quand elle a sus pour vous et Sacha,…..



John tourna la tête vers Ronon, curieux



- Elle a été très triste.
- Pourquoi ?
- Elle tient beaucoup a vous. Peut être même plus qu’un ami, ou un frère.
- Et vous, vous étiez là au mauvais moment c’est ça ?
- Exactement, je l’ai juste consolée et c’est tout.
- Et moi je l’ai jugé trop tôt.
- Vous devriez lui parler quand elle s’en sortira.
- Si elle s’en sort, dit John
- Elle s’en sortira, c’est une femme forte. rassura Ronon
- Vous avez raison. dit John.



Deux jours plus tard, Elizabeth revint dans le couloir de la salle de contrôle.
Elle ne voyait personne dans la citée cela l’inquiétait.
Elle arriva dans la salle d’embarquement, et quand elle entra, tout le monde l’accueillit en l’applaudissant. Elle sourit et s’avança en remerciant.
Teyla l’a félicita en rigolant sur ses combats. Ronon aussi.
Rodney promit de se débarrasser des affaires goaulds.
Et Elizabeth vit Sheppard qui cette fois ci lui souriait.
Elle s’approcha et dit :



- Bravo Colonel.
- Pourquoi ?
- Pour avoir tenu tête a Bastet.
- Vous aussi Elizabeth, vous lui avez tenu tête. Et il faut que je vous explique quelque chose.
- Quoi
- Jamais je ne vous tuerai
- Merci d’avoir tout fait pour ne pas me tuer, dit elle en souriant.
- Encore une chose
- Quoi ? demanda t’elle
- Ce n’est pas demain la veille, que je me rebattrais avec vous.



Elizabeth sourit en rigolant et elle dit :





- On se reparle alors ?
- Oui
- Amis ?
- Oui
- Euh … John, …pour l’autre jour, quand j’étais dans bastet et que elle …euh … vous voyez ce que je veux dire ?
- Pas du tout, dit il
- Quand, elle vous a embrasser et qu’elle a dit que …, dit elle un peu gêner
- Qu’elle baiser ?
- Vous ne vous rappelez pas… dit elle déçue



Il l’a regarda et sourit devant son aire déçue.



- Oh, dit il, vous voulez parler de ça.
- Eh … oui de ça, dit elle ironique.



Il l’a regarda. Il se demandait toujours si elle l’aimait ou non. Malgré ce que Ronon lui avait révéler. Il avait besoin de l’entendre de sa bouche pour en être certain. Il l’a regarda toujours. Mais n’osait pas lui demander. Il imaginait sa joie si elle lui disait oui. Mais il imaginait aussi sa douleur si elle lui disait non. Il ne savait plus ce qu’il devait faire ou ne pas faire. Elizabeth regardait le couple rigolait avec Rodney et Carson. Elle sentait le regard de John sur elle et se demandait ce qu’elle devait faire. Ecouter Ronon et tout lui avouer. Ou se taire et attendre qu’il fasse le premier pas, si il le fait. Elle n’avait pas envie de recevoir d’autres mauvaises nouvelles aujourd’hui. Dans cette expérience elle aurait au moins appris tout ce qu’elle était capable de faire et combien elle pouvait être dangereuse si elle s’y mettait. Soudain elle retourna la tête quand John dit :



- Au fait, bon anniversaire….en retard.
- (sourire) merci, ….comment se fait il que vous soyez toujours au courant ?
- De bonnes sources et une bonne mémoire. Et puis les choses comme celle-ci ne s’oublie pas.
- Merci … Quand est ce votre anniversaire ?
- Ah ça mystère.
- Ne vous en fait pas… je trouverais….un jour ou l’autre.



Ils sourient à cette dernière phrase et il dit :



- Vous êtes sur que vous êtes guérie ?
- Ne vous en faites pas je suis guéri. Et si des fois mes yeux s’illuminaient je….



Précipitamment il mit un doigt sur ses lèvres pour l’empêcher de parler :



- Ne dites jamais ça !



A cet instant il y eut une ambiance assez chaude. Elizabeth et John se regardaient les yeux dans les yeux comme liés, attendant le moment venu.
Petit à petit ils se rapprochaient toujours sans bruit, n’ayant que l’amour pour les lier. (Inutile de dire que autour il faisait très chaud). Plongés dans les yeux de l’un et l’autre. Tout deux étaient très, très proches. Quand soudain, par une erreur de la nature, par le grand désespoir de la galaxie, par le plus grand soupir de tous, Rodney arriva et dit :



- Au fait bon anniversaire Elizabeth
- Bon anniversaire, répétèrent Teyla, Ronon et Carson.



Elizabeth tourna la tête vers eux et les remercièrent. Puis alla discuter avec eux.
John alla les rejoindre. Tous deux pensaient que ils s’étaient fait des illusions, mais tout le monde savaient, a pars Rodney qui était là au mauvais moment, cette histoire entre John et Elizabeth était Loing ….. D’être terminer.
Au contraire, elle ne faisait que s’accentuer. Fin.
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Ronon et Teyla qui se tenaient par le bras, les regardait et Teyla dit :



- Finalement cette histoire se termine bien
- Tu crois que c’est la fin ? dit Ronon
- Quoi ? Que veut tu dire ?
- Je crois plutôt que c’est le début, pour nous.
- C’est vrai, dit elle en souriant.
- Comment ça pour nous ? dit Rodney en regardant Ronon et Teyla
- Oh vous n’êtes pas au courant. dit Carson
- Oh courant de quoi ? dit Rodney



Ronon et Teyla se regardèrent et s’embrassèrent. Rodney regarda le couple Teyla/ Ronon et dit :



- OH ce n’est pas vrai.





Fin

franchement super bravo..............;